Quand la Voyante est confrontée à un malade, à la maladie de son consultant
En termes clairs, je ne pense pas que ce soit
le rôle d’une voyante de se hasarder dans d’éventuelles prescriptions médicales,
sensées favoriser une potentielle guérison.
La gestion de la Santé reste sous la
responsabilité de la Médecine et du corps médical qui la compose.
Mais ne pas répondre à un malade, ou à quelqu’un
qui va tomber malade serait fermer ma porte et mes visions à près de 2
personnes sur 5, parmi ceux et celles qui me consultent. Car malheureusement,
il est fréquent que la maladie s’invite dans leur vie, ou dans celle d’un de
leur proche.
Donc oui, au hasard d’une consultation de
voyance, il m’arrive souvent de me retrouver confrontée à des prédictions
touchant le domaine de la Santé, et je pense qu’il serait hasardeux de ne pas les aborder, de ne pas
informer la personne qui me consulte de sa maladie.
Il est compliqué de classifier mes
expériences de voyante en matière de malades et de maladie(s).
Les maladies incurables, celles dont on ne guérit pas
Celui ou celle qui se sait déjà atteint d’une maladie
incurable
J’ai parfois dans mes consultants des
personnes souhaitant préparer au mieux le temps qui les sépare de leur propre
mort, qui ont besoin de comprendre ce qu’ils n’ont pas encore eu le temps de
comprendre, qui veulent savoir comment les choses vont se passer après leur
décès.
Ce ne sont pas obligatoirement des séances de
voyance tristes, ou lugubres, elles nécessitent d’être efficace dans ses
prédictions, car le temps est compté, le temps qui leur reste est précieux.
Mais parler de la mort d’une personne
condamnée à mourir n’est pas toujours possible pour autant.
La petite fille de cet homme est atteinte d’une leucémie. Elle survit néanmoins depuis sa naissance et a du passer les 3 quarts de sa vie hospitalisée. Ce papa consulte beaucoup de voyants, c’est sa manière à lui de tenter de garder un espoir qu’il sait pourtant vain. Nous examinerons ensemble les moments de souffrance de sa fille, les trop brèves améliorations de son état de santé, Il m’en voudra de ne pas lui avoir annoncé la date de la mort de sa fille, qu’il savait pourtant imminente. Mais même pour une voyante aussi cash que moi, il était impossible de prédire à un père la mort de son enfant adoré.
Ceux et celles qui ne savent pas encore qu’ils ont ou
vont avoir une maladie incurable
Ils me consultent parfois pour tout autre
chose, ou parfois même souhaitent parler avec moi d’une nouvelle douleur, de
quelque chose qui commence à les inquiéter au niveau de leur santé.
Cette maladie incurable est alors comme une
gifle reçue en pleine consultation de voyance, une gifle à laquelle on ne s’attend
pas.
Non je n’ai jamais dit à quelqu’un qu’il ou
elle était atteinte d’une maladie incurable, mais en blêmissant je les exhorte
à aller très vite consulter un médecin.
Regarder le reste de leurs préoccupations
devient alors impossible, je me sens comme dans un cas d’urgence sanitaire, j’ai
envie de pleurer, je dois garder un visage détendu pour ne pas traumatiser le
malade qui me fait face.
Oui il m’est arrivé de finir une consultation
de voyance en sachant que la personne ne serait bientôt plus de ce Monde.
Une question urgente vous taraude l’esprit?
Je vous propose d’y
répondre par mail, dans les heures qui suivent, via mon service dédié
(Merci de cliquer sur
le lien qui suit) :
Ces maladies graves dont on guérit
Ceux et celles qui sont en rémission
Ils ont vécu la maladie, l’ont combattue et
sont considérés comme aujourd’hui soignés.
Il y aura toujours lors de nos séances de
voyance une angoisse latente, la personne qui me consulte interprétant mes
silences, mes intonations de voix comme d'éventuelles visions d’un retour de la maladie dans leur vie.
Je suis un peu comme la visite de contrôle à
laquelle ils se plient déjà auprès de leur médecin traitant, ou du chirurgien
qui les a opérés.
Ceux et celles qui ne se soignent pas encore
Ils peuvent ignorer être malades, ou
sous-estimer l’urgence de consulter un médecin.
Ils me consultent souvent pour des thèmes n’ayant
rien à voir avec leur santé, et parfois même ne souhaitent pas aborder ce
domaine, par superstition ou par crainte.
Mais fort heureusement, dans ces cas précis,
les informations m’arrivent et s’imposent à moi : cette personne doit se
faire soigner et vite voir un médecin.
Claire me consulte essentiellement pour son travail. Grande, élancée et vive, elle déborde d’énergie. Un jour elle vient me consulter en boitant. « Rien de grave m’affirme-t-elle, je me suis tordue la cheville en tombant, bêtement, comme si quelqu’un m’avait poussé en avant, alors que j’étais seule Le médecin m’a bandée, il faut juste attendre que ça passe ». Nous commençons notre séance, parlons travail comme d’habitude et soudainement une certitude dont je n’arrive pas à me défaire. Je continue de voir sa jambe malade. Je la supplie d’aller vite passer une radio de contrôle, ce qu’elle fera rapidement car elle a confiance en moi. La radio détectera un cancer de l’os, elle se fera opérer à temps, et échappera ainsi à quelque chose qui aurait pu être beaucoup plus grave. Elle est aujourd’hui soignée et heureuse de l’être. Ce qui m’a fascinée dans cette histoire n’est pas ma vision, mais le fait que j’ai toujours pensé qu’elle n’était pas tombée par hasard, qu’un de ses défunts l’avait poussée pour qu’elle se blesse et soit ainsi obligée de passer une radio, la fameuse radio qui a détecté son cancer.
Ces maladies qui nous handicapent la vie
Allergies, troubles
du sommeil, problèmes respiratoires, angoisses, mauvaise digestion
La liste est longue de tous ces bobos, de ces
« petites » maladies qui nous pourrissent la vie.
Ceux qui me consultent à ce sujet ont souvent
vu beaucoup de médecins, se sont même déjà tournés vers toutes les médecines
alternatives possibles et inimaginables.
Et la maladie perdure sans qu’ils n’en
comprennent ou la raison, ou la manière d’en guérir.
Certaines de ces maladies peuvent être
somatiques (par exemple perte de cheveux, et même des sourcils), d’autres sont
clairement organiques (impossibilité par exemple de digérer tel aliment).
La voyance devient un peu comme une enquête.
Il faut cibler le malade et remonter jusqu’à la source, une source très souvent
ignorée et donc quasiment indétectable.
Cette maman a tout fait pour éradiquer les allergies de son fils de 6 ans, qui a passé des batteries de test. Ils ont compris que cet enfant était allergique aux fruits et ont donc exclu cette catégorie d’aliments de sa nourriture. Mais le garçon continue de souffrir d’allergies et son corps est recouvert de plaques rouges, douloureuses et disgracieuses. La maman à bout de nerfs vient de province avec son fils pour me consulter. Tous les deux m’affirment que ne touchant aucun fruit de près ou de loin l’allergie vient de tout autre chose. Je capte en vision le garçon avec un verre de liquide orange. « Tu bois du jus d’abricot ? » Sa mère intervient « Bien sûr que non ! Mais moi oui, chaque matin ». Je lançais un regard complice au petit garçon, qui chaque matin dès que sa mère avait le dos tourné plongeait ses lèvres dans le fameux jus d’abricot ». Bon depuis, il va beaucoup mieux et sa mère a banni le jus d’abricot de ses petits déjeuners…
La voyance ne trouve pas toujours la solution
pour apaiser ou détecter les soins possibles à ces maladies non graves, mais ô
combien handicapantes.
Comment une voyante capte-t-elle une maladie ?
Il y a plusieurs manières de ressentir une
maladie en voyance :
On peut la ressentir avec son propre corps,
on ressent alors une douleur ciblée, comme un coup de poignard ou un coup de
poing.
On peut la voir, avoir une vision comme
zoomée sur l’organe malade.
On peut visualiser le mot de la maladie, ou
de la spécialité médicale apte à la soigner. Voir des mots défiler ainsi devant
nous.
On peut entendre parfois un véritable
diagnostic, avec les détails de cette maladie.
En fait ces informations nous arrivent par
tous les canaux de voyance possibles : clairaudience (on entend) ,
claivoyance (on voit) , on ressent, on sent…
J’avoue que pour une voyante prédire sur les
questions de santé est angoissant et traumatisant, mais qu’il faut parfois savoir
le faire.
La voyante devient alors un peu comme la
chargée de l’accueil d’un hôpital : elle vous écoute, elle vous redirige
vers le bon service, mais elle ne vous soigne pas.
©
Nathaly Bloch
N.B :
Toutes les personnes citées dans mes articles existent, ou ont existé, et m’ont bel et bien consultée.
Cependant, par mesure de confidentialité, et afin que nul ne puisse les reconnaître, j’ai modifié leurs caractéristiques principales (prénoms, métiers, lieux…)
Toute similitude ou ressemblance flagrantes avec une personne existante ou ayant existé ne donc serait que pure coïncidence totalement indépendante de ma volonté.
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